Tout homme a envie, a besoin, d'une paire de bras féminins où se blottir.

       Il doit pouvoir s'en envelopper comme d'un châle, s'y lover, s'y retrouver.

       Les bras doivent être: confortables, un peu replets, les mains qui le serrent: potelées et caressantes.

       Celle qui le tient ainsi doit être patiente, ne rien attendre, tout accepter.

       Elle n'a rien à dire que "oui", et être présente infiniment.

       Elle peut être l'amante, la mère, la grand'mère ou la vierge Marie,  ou tout cela à la fois.

       Elle peut être indifférenciée, mais surtout ouvrir son coeur et son buste de femme. Quels qu'ils soient les seins seront: amples et bienveillants, souples et tièdes.

       La femme qui donne tout n'a pas à crainde de manquer  de ce qu'elle donne: elle n'est que ce par quoi l'amour advient, le canal, le puits d'eau vive. L'amour est la seule force qui croît de se donner.

       Toute femme devrait savoir être ainsi, car tout homme peut en avoir besoin. 

       La femme possède ainsi l'étrange pouvoir de résoudre tous les conflits du monde, en faisant retourner les hommes qui menacent de les déclencher à leur vérité première, primordiale, d'enfant divin comblé.  

 Joan Paolo Vesquay (Le miroir)

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     Il y avait, dans un village, un homme très pauvre qui avait un
 très beau cheval. Le cheval était si beau que les seigneurs du chateau
 voulaient le lui acheter.

 Lui, refusait toujours.
  
    - Pour moi ce cheval n'est pas un animal, c'est un ami. Comment
  pourrais-je vendre un ami ?" demandait-il.
 
    Un matin, il se rend à l'écurie, et le cheval n'est plus là.
 
    Tous les villageois lui disent : "Et voilà! On te l'avait bien dit ! Tu
 aurais mieux de le vendre. Maintenant, on te l'a volé... quel
 malchance !"
 
    Le vieil homme hésite, puis répond:

    - Chance, malchance, qui peut le dire ?"
 
    Tout le monde se moque de lui. Mais 15 jours plus tard, le cheval
 revient, avec toute une horde de chevaux sauvages. Il s'était échappé,
 avait séduit une belle jument et rentrait avec le reste de la horde.
  
     - Quelle chance !" disent les villageois.
 
    Le vieil homme et son fils se mettent au dressage des chevaux
 sauvages. Mais une semaine plus tard, son fils se casse une jambe à
 l'entraînement.
  
     - Quelle malchance !" disent ses amis. "Comment vas-tu faire, toi
 qui est déjà si pauvre, si ton fils, ton seul support, ne peut
 plus t'aider !"
 
    Le vieil homme répond

    - Chance, malchance, qui peut le dire ?"
 
    Quelque temps plus tard, c'est la guerre. L'armée du seigneur  arrive
 dans le village, et enrôle de force tous les jeunes gens disponibles.
 
    Tous partent... sauf le fils du vieil homme, qui a sa jambe cassée.
  
     - Quelle chance tu as, tous nos fils sont partis à la guerre, et toi
 tu es le seul à garder avec toi ton fils. Les nôtres vont peut-être se
 faire tuer..."
 
    Le vieil homme répond "Chance, malchance, qui peut le dire ?"

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Présenter ses idées, ses rêves à la foule, c'est risquer de les perdre........................................................................................

Aimer, c'est risquer de ne pas être aimé en retopur.

Espérer, c'est risquer de désespérer.

Essayer, c'est risquer d'échouer.

Vivre, c'est risquer de mourir.

Mais il faut prendre des risques, car le plus grand danger dans la vie, c'est de ne rien risquer du tout.

Qui ne risque rien ne fait rien, n'obtient rien, n'est rien.

Il a une petite chance d'éviter la souffrance, mais c'est à coup sûr qu'il évitera la destinée qu'il était pourtant venu rencontrer.

Et c'est à coup sûr qu'il deviendra esclave de sa propre peur.

Seuls ceux qui risquent sont libres.

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Rire......................................

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c'est risquer de paraître idiot.